Vous aimez la cuisine indienne raffinée? Alors ce restaurant situé sur l’un des nombreux rooftops de Bangkok propose, en plus d’une magnifique vue sur Sukhumvit, un set menu tout à fait délicieux dans un cadre luxueux. Après le dîner, vous pourrez vous balader et explorer l’un des quartiers les plus touristiques de la capitale thaïlandaise, ou vous trouverez de nombreux bars et attractions en tout genre.
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Bangkok est une ville fascinante qui mérite d’être visitée au moins une fois.
Elle s’est développée ces 30 dernières années à une vitesse vertigineuse, devenant une véritable mégapole d’au moins 10 millions d’habitants. Le revers de la médaille est, qu’elle devient aussi célèbre pour ses énormes embouteillages.
Le développement d’un transport urbain et efficace est devenu une nécessité, et quoi de plus beau, que de l’avoir intégré au paysage déjà grandiose. La grande prouesse est d’avoir transformée ce mode de transport en un objet non seulement pratique, mais également tendance.
Rien à voir avec le coté lugubre du métro parisien ou new yorkais. Ici on se promène dans des wagons ultra propres, climatisés a travers les grandes artères de la ville.
C’est même un luxe suprême d’habiter près d’une station ou les prix de l’immobilier peuvent être 2 fois plus chers pour quelques centaines de mètres. Les plus grands hôtels et les shopping malls l’ont bien compris.; il est comme une artère irriguant de gigantesques organes.
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L’intérêt d’aller à Hua Hin ne réside pas dans la station balnéaire en elle même, car disons le franchement, elle est complètement ratée, mais par toutes les excursions qui s’offrent aux alentours.
Venant de Bangkok, le premier centre d’intérêt se trouve à Phetchaburi. Il faut rouler environ 2 heures, ou 135 Km pour y parvenir. C’est une ville fondée par les khmers au 8ème siècle et qui par son climat agréable à proximité des montagnes, a attiré la famille royale qui y a fait construire un palais d’été à la fin du 19 ème. Planté en haut d’une colline dominant la ville, on se promène à travers les différents bâtiments au milieu d’un beau parc tropical et accompagné par les singes locaux. On est très loin du tourisme de masse, Il n’y avait pas plus de 15 personnes sur l’ensemble du site.
A la sortie de la ville, se trouve des grottes impressionnantes de part leur dimension, les grottes de Khao Luang. Comme souvent en Thaïlande, elles servent également de lieu de culte et vous y trouverez un certain nombre de Bouddhas, de toutes les tailles et dans toutes les positions.
Retour à Hua Hin, et plus particulièrement sur sa plage de sable blanc. Il n’y a pas vraiment d’âmes ici. On se sent pas en Thaïlande, pas de petits restaurants pieds dans l’eau pour siroter une bière, ni d’ombre pour s’abriter du soleil. Vivement demain pour une exploration du domaine vinicole de Monsoon.
Les thaïlandais se mettent au vin, au moins ceux qui en ont les moyens, car il est vendu au même prix qu’un Côte de Nuit à Beaune…Mais je dois dire qu’il est bon. L’endroit est agréable et surtout il y a un restaurant façon brasserie qui doit surement beaucoup dépayser les autochtones et autres touristes chinois.
Au sud de Hua Hin, coincé entre la Birmanie et la mer s’étend le Park National de Khao Sam Roï Yot et les grottes de Phraya Nhakon. La aussi, on est surpris par la tranquillité, les dimensions, l’authenticité, et le côté sauvage du lieu. A faire pour les amoureux inconditionnels de la nature.
Ma semaine s’achève , et je dois avouer que je suis triste de repartir. Mais je reviendrai.
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Faute d’aéroport, cette île semble rester à l’écart de l’urbanisation débridée comme celle qui sévit sur l’île voisine et jumelle de Koh Samui. Une traversée de 30 minutes (10 minutes pour les plus riches) a suffit à la tenir à l’écart. C’est aussi ce relatif isolement qui lui a permis au fil des ans de devenir la star des fêtes de Full Moon lors de chaque pleine lune. Fête ouverte à tous sur la plage de Haad Rin dans une ambiance alcoolisée et débridée aux sons de techno parade. En effet, les décibels ne génèrent pas de conflits de voisinage quand il n’y en a pas! Avis aux amateurs et night-clubbers qui pour la plus part résident à Samui et prennent la navette maritime pour s’y rendre comme on prendrait un taxi.
Le reste du temps, Koh Pha Ngan, dont le par national couvre la moitié de sa superficie, est une île paisible que l’on peut tranquillement parcourir en scooter, et se poser sur des plages magnifiques. On très loin du tumulte engendré par le tourisme de masse. On peut également profiter de toutes les activités que la mer à offrir: pêche, snorkeling, plongée, scooter des mers, et excursions sur les îlots voisins.
L’authenticité et le romantisme qui se dégagent de cet endroit en ont fait à mes yeux une destination incontournable de la Thaïlande, voir de toute l’Asie du Sud-Est.
Arrivés à Melbourne par une belle journée d’été austral, nous prenons possession de notre véhicule de location. Conduire en Australie est très facile bien que l’on y roule à gauche. Pour le GPS, Google map fait très bien l’affaire et je trouve l’adresse de mon condo sans aucun soucis.
De notre appartement nous pouvons admirer la vue dégagée du parc Batman le long de la Yarra River dont les berges sont, en cette veille de week-end, noires de monde. C’est la célébration du nouvel an chinois qui se prépare, des spectacles de rue et des stands de street food apportent un surplus d’animation dans une ambiance détendue.
Le plus vieux marché de la ville, le marché de Victoria régalera petits et grands. Je ne résiste pas à l’achat de quelques huitres, de saumon bien frais et de bouteilles de vin. D’ailleurs, il faut bien se préparer a la suite de notre programme.
Nous quittons donc Melbourne pour la Yarra Valley, et partons à la découverte des vignes qui hissent l’Australie dans le Top 10 des grands producteurs de vins. c’est chez de Borteli, que nous nous arrêtons pour la dégustation. C’est un jeune stagiaire français originaire du bordelais, qui s’activait derrière le comptoir. Sympa le stage!
Après cette dégustation dans ce cadre idyllique nous reprenons finalement la route en direction de l’océan et du parc national de Wilsons Promontory.
Nous passons la nuit dans un ranch à proximité d’un troupeau d’Angus qui nous observe paisiblement. Nous apercevons non seulement notre premier Koala, mais aussi la mer et son immense plage vierge et sauvage. Un peu plus loin, la petite route le long de la côte nous mène directement vers un phare désert, celui du cap Liptrap. La vue y est absolument grandiose.
Il nous faut maintenant emprunter la Great Ocean Road aux panoramas réputés dans le monde entier. Nous partons plein Ouest pour emprunter le Ferry à Sorrento et débarquer à Queenscliff ou elle démarre.
Nous continuons ainsi jusqu’à Apollo Bay puis Port Fairy tout en admirant entre autres les étonnantes cheminées calcaires posées dans la mer (les 12 Apôtres pour les 12 cheminées, mais aujourd’hui à cause de l’érosion, il n’en reste plus que 8), les falaises escarpées et formations rocheuses (Loch Arch Gorge et London Bridge) etc… Certains endroits sont également des spots de surf pour ceux qui aiment les très grosses vagues.
La Great Ocean Road n’allant pas plus loin, nous quittons la mer pour remonter plein nord vers le parc national de Grampians. C’est une chaine de montagne couverte de forêts célèbre pour sa nature sauvage et ses sites de peintures rupestres aborigènes. La encore les paysages sont grandioses et vierges. Les feux de forêt sont malgré tout fréquents, ce qui peux fermer l’accès de certains des sites.
Après ce dépaysement total, nous prenons le chemin du retour non sans un arrêt à Sovereign Hill, ville de mineurs, témoin moderne de la ruée vers l’or du 19ème siècle qui a fait la richesse de l’état du Victoria. Savez-vous que certaines pépites ou granules trouvés ici, à même le sol, contenaient plus de 100 Kg d’or pur?
Place maintenant à la découverte de la Tasmanie, la plus grande, la plus au sud des îles australiennes. Située à 199 Km du continent, elle a été jusqu’en 1853 une prison à ciel ouvert, un lieu de bagne. Par son isolement, on trouvera ici des animaux, comme le diable de Tasmanie qui ne vivaient nulle part ailleurs.
C’est par Launceston, l’une des 3 plus vielles villes d’Australie, avec Sydney et Hobart, que nous commençons. Ici, le temps c’est arrêté, pas d’embouteillages, ni grattes-ciels, seulement quelques rues au centre, et une forte atmosphère de 19ème siècle. En remontant la Tamar river, on rejoint l’océan d’un bleu profond et avec un peu de chance, on trouvera là des pingouins qui viennent nicher le long de la plage.
Non loin de là, à Georgetown, vous trouverez aussi un Fish and Chips, dont les huitres toutes fraiches sont irrésistibles. La Tasmanie est également un grand producteur de vin. Il y a des caves tout le long de la route…Difficile de ne pas s’y arrêter!
Mais la Tasmanie est aussi une île isolée, sauvage et couverte de montagnes, 1/3 de sa superficie est déclarée Parc National. C’est tout naturellement par là-bas que nous partons. Ici, il n’y a plus que la nature sauvage, ses forêts et ses lacs. Comme au Jurassique, d’énormes fougères tapissent les lieux au milieu d’arbres gigantesques dont certains sont âgés de 5000 à 10 000 ans. On s’attend presqu’à tomber nez à nez avec des dinosaures. Mais rassurez-vous, il n’y en a plus. Par contre vous trouverez des marsupiaux qui ont presque tous leurs équivalents chez les mammifères. L’Échidné qui ressemble au hérisson, le Wombat, sorte de lapin géant de plus de 35 kg, le Wallaby en Kangourou miniature, le possum au faux air de Pikachu et enfin le diable, qui lui s’apparente à un petit ours colérique.
Après quelques jours rythmés par des ballades dans les Cradle Montains nous quittons notre châlet et partons plein Est vers l’océan. Direction la péninsule de Freycinet, sa Oyster Bay et sa Wineglass beach. Cette plage est considéré comme l’une des plus belles du monde de part ses dimensions parfaites. A cela on peut y ajouter une mer d’un bleu saphir, et un sable blanc et fin comme de la farine. Le rêve pour tout amoureux de la mer, sauf qu’ici, il n’y a personne pour vous surveiller et que les vagues sont fortes.
A quelques km de là, Il ne faut pas oublier d’aller voir les pingouins à Bicheno (dans le petit port), et de profiter de Coles Bay ou l’eau de la mer est transparente. Ballades en Kayak inoubliables le long de cette portion de côte à labri de l’océan.
Après un dernier plateau d’huitres arrosé d’un dernier verre de Gewurztraminer local, nous prenons enfin le chemin du retour. C’est avec une pointe de nostalgie que je partage avec vous cette rencontre avec ces terres australes…
D’origine volcanique, les îles des Philippines font partie de la ceinture de feu du Pacifique. C’est un archipel tropical de plus de 7000 iles entourées par l’océan Pacifique, la mer de Chine et la mer des Célèbes. On distingue trois parties : Luçon, l’archipel des Visayas et Mindanao.
On associe souvent les Philippines aux catastrophes naturelles régulières dont on parle dans les médias, explosions volcaniques, séismes, et autres typhons. Or qu’en réalité, il y a a un nombre incroyable de plages magnifiques, de reliefs montagneux et une faune sous-marine si riche qu’elle n’a rien à envier à la grande barrière de corail.
La population est extrêmement accueillante, et la communication y est d’autant plus facile, que la plupart des habitants parlent ou connaissent l’anglais.
Pour des raisons de logistiques, mon périple commence à Manille, la capitale et point de départ obligé.
La première étape est de remonter vers nord, comme l’on fait les espagnols puis les américains, pour se rendre dans la partie montagneuse du centre de l’ile de Luzon. Après une nuit à Baguio, ou s’arrête l’influence espagnol, nous arrivons à Sagada, ville fondée par les missionnaires américains et recherchée pour son climat tempéré. Visite des grottes de Sumaging, des cercueils suspendus de la vallée de l’écho et de la montagne bleue.
Mais l’objectif final est de continuer sur Barnaue, village situé au coeur de du pays des Ifugaos, pour admirer les fantastiques rizières en terrasse vielles de plus de 2000 ans. L’ethnie Ifugao est malheureusement en train de se fondre dans la modernité, et vous sera difficile de trouver de véritables survivants.
La deuxième étape, après un passage à Manille pour prendre l’avion, est de se rendre dans le sud, et plus précisément dans l’archipel des Visayas. C’est à cet endroit que les portugais et les espagnols ont pour la toute première fois débarqué après la traversé de l’océan pacifique. On trouvera d’ailleurs la tombe de Magellan, qui n’a pas pu réaliser son tour du monde, sur l’ile de Cebu.
C’est sur l’ile voisine de Siquijor, petite ile avec de belles plages loin des centres touristiques, que nous atterrissons. Le béton et la modernité semble pour le moment l’avoir épargnée. C’est là que se réunissent tous les ans au mois de mars les guérisseurs, comme autrefois les druides dans la forêt des Carnutes. A 2 heures de bateau se trouve également un sanctuaire de tortues marines, à ne pas rater sous aucun prétexte.
Pour la troisième et dernière étape, cap via le ferry sur l’ile de Bohol, célèbre pour ses « Chocolat Hills », ses Tarsiers et lucioles, mais aussi pour ses plages et sa vie nocturne. C’est avec tristesse que nous retournons à Manille après 4 nuits.